A l'initiative de l'association Te Rama Ora, les premières Assises de l'aide aux victimes en Polynésie française ont été ouvertes, mardi 29 mai 2007. Le président, Gaston Tong Sang, les deux députés polynésiens, Béatrice Vernaudon et Michel Buillard, ainsi que des représentants de la gendarmerie et de la magistrature ont assisté à l'ouverture de cette semaine dédiée à la mise en place d'ateliers de travail et de modules de formation

Initiées par l'association Te Rama Ora et par l'INAVEM (Institut National d'Aides aux victimes et de Médiation), et grâce au concours de la fédération tahitienne de football qui, se positionne comme véritable "acteur et partenaire des pouvoirs publics", les assises ont été suivies par de nombreux éditeurs.

Outre l'appui des services de l'Etat, de la gendarmerie et du Palais de justice, Te Rama Ora s'appuie sur les services sanitaires et sociaux de la Polynésie française avec lesquels la prise en charge des victimes a été considérablement améliorée ces dernières années.

Les travaux de cette semaine, ont ainsi permit de sensibiliser, de perfectionner les connaissances et d’affiner les compétences, des principaux professionnels (infimiers, medecins, travailleurs sociaux, greffiers, gendarmes…) à l’accueil, l’information et à la prise en charge sociale, juridique et psychologique des victimes d’infractions pénales, mineures et majeures.

Pour ce faire, l’INAVEM avait sélectionner pour constituer sa délégation quatre de ses meilleurs formateurs ; à savoir :

• Hubert bonin, président de l’inavem, magistrat,  
• Jean pascal thomasset, secrétaire général de l’inavem et directeur de l’avema,
• Nadege bezard, juriste – vice présidente de l’inavem et avocate,
• Pascale vaucher mermet, psychologue victimologue à l’AVEMA.

La qualité des formations était au rendez vous et les premières évaluations ont relevé un taux de satisfaction extrêmement élevé de la part des stagiaires.